Nous étions huit, oubliant nos soucis

rendant compte de nos lectures plaisir

autour d’une table ronde.

Soirée succédant à la matinée des bébés de la Crèche d’Ornaisons

nous avons, comme eux, feuilleté :

la “Géographie” de Cortambert édition 1866, à texte serré,

sans photos, pour accrocher le regard.

“les Étrusques” d’Attilio GAUDIO une civilisation retrouvée de 1969.

“Bergers et Troupeaux en Languedoc et Catalogne”

de Marlène ALBERT, André CABROL & Jean-Pierre PINIÈS 1985.

puis Chacune et Chacun avons partagé nos engouements de lectures actuelles :

- “Le Pingouin” roman d’Andreï KOURKOV,

dont l’humour amplifie l’humanité d’une relation faite de respect

entre les êtres, qu’ils soient homme ou pingouin.

- “Les Pingouins n’ont jamais froid” suite du précédent

recherche désespérée de ce pingouin (objet d’un rapt crapuleux) par son maître et ami

pour le ramener vivre dans son pays d’origine: la banquise d’Antarctique.

Puis, en corrélation avec

la journée mondiale des femmes

- “Portrait de femme” d’Henry JAMES

ardente féministe, peu féminine, allant au bout de ce qu’elle avait décidé.

“La Tresse” de Laetitia COLOMBANI

roman autour du cheveu et de trois femmes reliant l’Inde, l’Italie et le Canada

dans leur combatcontre les discriminations et leur quête d’émancipation.

“Sæur Emmanuelle: j’ai cent ans et je veux vous dire”

de Jacques DUQUESNE et Annabelle CAYROL

vie d’une autre ardente à remuer ciel et terre pour l’égalité de tous les êtres

“Marie STUART Reine de France et d’Écosse”

biographie de sa tragique vie par René GUERDAN

Le récit de vie “La folle avoine” de Guy GEORGY,

retrace la miséreuse vie paysanne en Périgord dans les années 1920-1935

et tous les possibles donnés grâce au curé, à l’instituteur à l’écoute

de la soif d’être, d’apprendre et de réussir ses études

pour un orphelin de fille-mère.

S’est posé la question “la journée de la femme ?”

Nous étions là : 7 , avec les livres cités.

bien à vous, en lectures-plaisir

signé : les 7 et un

Cette soirée autour d'un bon  cassoulet, au son d'une musique occitane incitant à la convivialité a connu un grand succès en rassemblant une centaine de convives.

Regardez la video du club OCK, vous y verrez des équipes épanouies et des participants ravis.

Deux fois par semaine, lundi et jeudi après-midi les tricouzettes se retrouvent pour créer des ouvrages à partir de tissus de récupération: imagination,entre-aide et bonne humeur sont au rendez-vous.

La MJC a offert un magnifique spectacle de marionnettes à fils présenté le samedi 4 février à la salle polyvalente du village. La pièce " Le carnaval des animaux " raconte comment les jouets, qu’un jeune garçon ne range pas, se réunissent pour élire leur nouveau roi.

Didou, Wiki la souris, Roméo le lion, madame la grandeur l’Autruche, Arthuro le crocodile, Benny le singe, Galopin le zèbre et Ferdinand l’éléphant ont pris vie sous les doigts habiles du marionnettiste qui, tout seul, parvenait à leur donner vie devant une quarantaine d’enfants, dont certains étaient assis sur un tapis au plus proche du spectacle, accompagnés de leurs parents. Les yeux émerveillés des petits spectateurs témoignaient du plaisir que le public a eu de découvrir ce spectacle illustré musicalement par " Le carnaval des Animaux ", de Camille Saint-Saëns.

L’assemblée générale de la MJC s’est tenue le samedi 21 janvier, avant les animations de la Nuit de la lecture.

À l’occasion de la Nuit de la lecture organisée par la MJC, un certain nombre d’animations ont eu lieu entre le 20 le 22 janvier. Différentes histoires ont été lues et des chansons ont été chantées aux enfants de l’école, de la maternelle au CM. Après chaque conte, les enfants étaient invités à choisir une "poupée-tracas", figures traditionnelles du Guatemala destinées à accompagner l’imaginaire des enfants vers la sérénité en les incitant à extérioriser leurs soucis qui avaient été fabriquées par divers ateliers manuels de la MJC. Le samedi, autour du thème "effrayé, effrayant", se sont succédé le défilé de la peur et un extrait de la pièce Les observateurs, de Jean-Claude Danaud, a été joué par Annie Tisseyre, Nadine Garrigues et Marie-Paule Bourianes. Par la suite, Annie a proposé, devant une dizaine de participants, une dictée qu’elle avait élaborée elle-même, toujours sur le même thème de la peur. L’animation s’est clôturée avec un goûter du soir concocté par les intervenants ainsi qu’une dernière dictée proposée le dimanche.

Contes qui font peur, bonbons, gâteaux, boissons sucrées, ambiance festive et beaux déguisements.

Une conférence sur l’histoire d’Ornaisons a rassemblé récemment une trentaine de personnes à la salle des associations. Assisté par Jean-Jacques Tisseyre, Jean-Louis Bonnet, historien passionné du village, a mené une conférence accompagnée de la projection de divers documents, après avoir évoqué ses liens étroits avec la MJC d’Ornaisons. Les participants ont pu, à cette occasion, connaître l’histoire de certains lieux ou édifices familiers tels que Hauterive, Le Molinas, le pont des États du Languedoc ou le ruisseau de Salvayre, autrefois nommé "Rec d’Engayraud". Conservés aux Archives départementales de Carcassonne, les documents officiels apprennent, entre autres, que le nom du village est attesté dès 1070 sous la forme "Ornadons" et "Ornationibus" en 1351. À sa création officielle en 1537, la commune comptait 812 habitants. À l’issue de la conférence, Jean-Jacques Tisseyre a projeté des photographies et cartes postales anciennes qui illustraient des moments publics ou privés tels que l’inauguration du pont des Auberges, emporté par les inondations de 1933 ou des manifestations viticoles. Véritables mémoires vivantes du village, Jean-Louis Bonnet et Jean-Jacques Tisseyre ont toujours grand plaisir à partager leurs connaissances avec leurs concitoyens curieux d’en savoir plus sur l’histoire de leur village.